Après les maudits Français, les maudits journalistes...
Bien ironique de ma part de parler contre les journalistes de par ma profession, ainsi que par ce blogue à saveur journalistique. Il ne me déplairait d'ailleurs pas de faire dans le journalisme culturel, mais là n'est pas le but de cet écrit. Les artistes ont besoin des attachés de presse, qui ont à leur tour grand besoin des médias. Un relationniste sans médias pourrait être comparé à une poule pas de tête, où tout le travail réalisé ne servirait à rien du tout. Je respecte donc grandement toutes les parties de l'équation, mais dans certains cas, il y a un mais.
Certains journalistes profitent de la situation ou ne savent tout simplement pas respecter ce pour quoi ils ont été mandatés. Je m'explique. Une entrevue avec le porte-parole d'un événement est organisée lors de la conférence de presse de ce dit événement. Jusque là, tout va bien et tout le monde est content. L'entrevue se déroule à merveille et un article est promis dans le journal du samedi. Super ! Le samedi arrivé, quelle n'est pas la surprise de l'attaché de presse de retrouver un article et une photo de l'artiste porte-parole sans aucune mention de l'événement ! L'équipe de l'artiste est bien contente d'avoir un bel article dans le journal. Par contre, l'équipe de l'événement a travaillé pour rien dans ce mandat ! Une petite mention dans le bas de l'article aurait été le minimum acceptable. Un peu de respect ici messieurs les journalistes ! Vous maîtrisez parfaitement l'art du camouflage de la vraie raison de votre entretien : une entrevue avec l'artiste pour parler de sa carrière florissante. Rien à foutre de la raison première de cette rencontre ! Vlan, dans les dents ! Message reçu.
Le changement d'un journaliste à quelques heures d'une entrevue peut aussi être décourageant lorsque le nouveau collègue désigné n'a pas la tête de l'emploi. L'organisation parfaite peut vite se faire chambarder par le chef de pupitre qui décide naturellement de placer le top journaliste sur un papier plus important.
Bien sûr, amis journalistes, tout ceci n'est pas toujours votre faute et ceci concerne une minorité d'entre vous. De grosses pointures se trouvent au dessus de vos têtes prêtes à couper dans votre travail ou à orienter le fil conducteur de votre travail. Un peu de respect serait par contre la clé d'une bonne entente entre tous les partis impliqués. Voilà.
Certains journalistes profitent de la situation ou ne savent tout simplement pas respecter ce pour quoi ils ont été mandatés. Je m'explique. Une entrevue avec le porte-parole d'un événement est organisée lors de la conférence de presse de ce dit événement. Jusque là, tout va bien et tout le monde est content. L'entrevue se déroule à merveille et un article est promis dans le journal du samedi. Super ! Le samedi arrivé, quelle n'est pas la surprise de l'attaché de presse de retrouver un article et une photo de l'artiste porte-parole sans aucune mention de l'événement ! L'équipe de l'artiste est bien contente d'avoir un bel article dans le journal. Par contre, l'équipe de l'événement a travaillé pour rien dans ce mandat ! Une petite mention dans le bas de l'article aurait été le minimum acceptable. Un peu de respect ici messieurs les journalistes ! Vous maîtrisez parfaitement l'art du camouflage de la vraie raison de votre entretien : une entrevue avec l'artiste pour parler de sa carrière florissante. Rien à foutre de la raison première de cette rencontre ! Vlan, dans les dents ! Message reçu.
Le changement d'un journaliste à quelques heures d'une entrevue peut aussi être décourageant lorsque le nouveau collègue désigné n'a pas la tête de l'emploi. L'organisation parfaite peut vite se faire chambarder par le chef de pupitre qui décide naturellement de placer le top journaliste sur un papier plus important.
Bien sûr, amis journalistes, tout ceci n'est pas toujours votre faute et ceci concerne une minorité d'entre vous. De grosses pointures se trouvent au dessus de vos têtes prêtes à couper dans votre travail ou à orienter le fil conducteur de votre travail. Un peu de respect serait par contre la clé d'une bonne entente entre tous les partis impliqués. Voilà.
0 commentaires:
Publier un commentaire
S'abonner à Publier des commentaires [Atom]
<< Accueil